Le Plaisir.

Gauls druidism.
Gauls druidism.

Le plaisir

Le plaisir ne se goûte pas, il n'a pas de prix et il faut en profiter autant que l'on peut à une seule condition: il doit être naturel, comme le bonheur mais comme une matérialité plus terrestre et plus diverse. 


Si je devais lui donner une place je dirais que le bonheur est dans l'Albuios, le plaisir est sur la terre et c'est le vice qui fait parti des passions incontrôlées des Andéros. Nous avons trois divinités masculines (et trois féminines) pour incarner cela dans notre panthéon.


Le plaisir en lui même est malléable, il peut être diffus où carrément s'imposer. C'est le résultat de nos expériences d'humains, ce qui nous a contenté s'inscrit dans notre mémoire et nous le recherchons par la suite. Le danger apparaît lorsqu'une quantité inassouvible d'un matériel plaisant nous est proposé car c'est l'envie qui est provoquée par ce biais. Se complaire dans un plaisir illimité n'est rien d'autre qu'une folie provoquant un dérèglement habituel de la personnalité, l'anormalité.

Par exemple si vous aimez un délicieux légume comestible cela vous fera du bien, quand on vous en donnera bien plus qu'il vous est possible d'en manger, vous finirez par en être dégoûtés. Je ne dit pas que le plaisir doit être rare, je pense qu'il doit être juste et équilibrer nos vies. 

Les gens pensent à tord que le plaisir est associé au pouvoir et c'est faux, on pense que l'argent garantit le plaisir par exemple alors que souvent cela conforte un vice, rien de plus. Le plaisir est le plus souvent surprenant, comme un cadeau.

C'est une récompense, la capacité à apprécier la finalité d'un devoir et c'est grâce à lui que nous nous comportons en adéquation avec notre environnement naturel, familial où plus largement sociétal. 

Notre éducation et la façon de nous comporter entre pleinement en relation avec la récompense. Un chocolat est meilleur quand on le mange suite à un événement, une médaille provoque notre aise quand elle nous est distribuée selon notre mérite terrestre. 

La jouissance est associée au corp terrestre et la jouissance d'un bien extérieur est associée au monde du milieu également. 

Convoiter le bien d'autrui lorsqu'il n'en est pas besoin ne sert à rien logiquement, ce n'est qu'une folie bestiale.

De même que prendre du plaisir au malheur de quelqu'un n'est qu'un vice induit par une éducation erronée et pernicieuse.

On peut prendre beaucoup de plaisir à travailler dur physiquement quand notre corp à besoin de bouger, de suer un peu.


À développer.