Avant propos

Culture gauloise, les gémeaux.
Culture gauloise, les gémeaux.

 

Avant propos

 

Le druidisme appartient à une forme d'intelligence unique en son genre, parce que partagé entre la création mouvante et le souvenir inaliénable.

 

 

 

 

 

La mythologie gauloise fut une des plus belle de l'Antiquité et on en trouve encore les traces dans les vieilles cultures européennes et d'ailleurs.

 

 

 

Mordu de lecture, publivore depuis toujours et amoureux des arts en général, il y a plusieurs années de cela, je lu un livre un peu particulier : les révélations de St jean. Je n'étais pas quelqu'un de croyant et de chrétien et je lus ce livre par curiosité.

 

 Je ne mis pas longtemps à relever le fait qu'un grand nombre de références rapportaient directement à la culture gauloise, que je savais quasiment disparue au débuts de la chrétienté sous le joug romain. 

 

 

 

 J’entamais une quête du souvenir historique et je commençais à étudier les brides de cette culture qui avaient subsistées. J’étudiais alors également au grés de mes voyages les différentes cultures antiques proches     géographiquement, ainsi que les restes du néolithique.

 

 

Ces études durèrent des années, neufs ans précisément. Au bout de ce laps de temps, je vis se dessiner le fil d'une histoire logique, cartésienne. La compréhension de ce qu'était vraiment le vieux texte de St Jean.

 

 

 

Les résultats de mes recherches se trouvent sur ce site internet, druidegaulois.net, mis à jour régulièrement. La mythologie gauloise étant d'une grande diversité, beaucoup de thèmes y sont abordés, même une tentative d'explication des phénomènes paranormaux, car cela fait parti du jeu, les druides que j'ai pus contacter m'ont aiguillé et convaincu de l'existence d'une certaine magie de ce monde.

 

 

Le fil des légendes gaules tient essentiellement sur deux point :

 

 

1-Le monde est schématisé sous la forme d'un dieu cerf, arbre du temps et de l'esprit appelé Kernunos.

 

Séparé en trois parties principales de haut en bas qui sont le tronc les branches et les feuilles colorées par les saisons représentant l'arche du ciel, la partie du tronc et l'écorce avec ses petits habitants qui représentent la terre, et la partie racinaire qui représente le monde du dessous et ses galeries obscures affiliées aux monde(s) des passions incontrôlables.

 

 

 

Cet arbre correspond au dieu Kernunos dont on connaît l’effigie assis sur son char du temps, le serpent de l'histoire en représente la route instinctive et animale, culte masculin et guerrier à la base qui avait son pendant féminin de l'autre côté du miroir, dans le monde des spiritualistes.

Ce sont donc deux trilogies masculines et féminines sur lesquels sont fondés toutes les bases du druidisme antique.

 

 Trois durées en sont connues selon un cycle de lumière et d'obscurité, celle du jour et de la nuit d’abord,

 

 celle de la période chaude et de la période froide qui est la principale : l'année

 

, Puis, celle de la vie, représenté par : la naissance, la jeunesse, la vie d'adulte et la mort (soleil, veau, visage d'homme et aigle); de la lumière de la vie à l'obscurité de la mort des peuples gaulois. Qui correspond au deux solstices et aux deux équinoxes croisées.

 

Trois cycles connus du culte du taureau (la nuit pour dormir, l'hiver pour se reposer, la viellesse pour mourir) , territoire du Donnotarvos, que l'on peut également décrurent ainsi: la mort animale, la maitrise terrestre, le monde divin de l'esprit.

 

 

 

La période de naissance de la vie et du monde physique et lumineux étant dédiée à Lugus. (Qui a lui même la capacité d'offrir une face lumineuse et la projection de son hombre antagoniste. Car Lugus possède deux côtés.

 

 

 

 

2- la sève qui monte et qui descend dans le tronc de l'arbre au fil de l'année est ce que l'on appelle par imagerie, les eaux de la vie (les eaux du temps vital), les branches et les racines en sont les chemins diverses.

 

 La femme est au centre du culte des eaux, des océans stellaires, elle est l'inspiratrice du chemin des hommes, vers le ciel où vers l'intérieur des terres. C'est la vie qui découle de la déesse mère et de ses filles les muses.

 

Toujours c'est le temps qui est décris.

 

 

 

Ce culte des eaux provient de la plus haute antiquité européenne, l'étude que j'ai pu opéré des dolmens et des mégalithes divers tend énormément vers cette synthèse.

 

 Les dolmens sont tous situés en des endroits ayants gardé l'empreinte des fossiles marins et ceux qui renferment des dépouilles nous ont permis de mettre à jour des colliers de coquillages, en des lieux situés loins de la mer. Les références à ces animaux sont connues même dans l'intérieur des terres gauloises, hippocampe des Parisii, oursin des druides...,c'est l’Atlantide de Platon tant recherchée depuis des millénaires, les eaux de lumières flamboyantes que le philosophe avait décris de manière imagée. Tous les dolmens sont tournés vers un creux provoqué par les eaux d'écoulement, et précisément, juste là où les racines d'un arbre ont creusé la roche en profondeur. Ces constructions étaient toutes recouvertes d'un tumulus de pierres, une montagne simulée comme une galerie creusée par les eaux dans la pierre, d’ailleurs, le tumulus de Gavrinis en est un exemple frappant avec ses formes aquatiques sculptées sur les parois.

 

Hors certains dolmens ont été construits cinq mille ans avant notre ère......... Le druidisme et le culte de l'arbre du dieu-temps semble bien remonter aux origines de la civilisation européenne. L'étude des menhirs et des cercles de pierres debouts corrobore la même thèse. Des sculptures communes retrouvées en Asie attestent de l'étendue de cette civilisation et de la date de son apogée... 3000 ans avant notre ère.

 

 

Chez les gaulois, la mort n'existe pas, c'est juste un cycle de purification à travers les passages des eaux du temps, autre dénomination du feu de la vie, car la mort et la vie se confondent. L'après-vie est juste considérée comme un autre long chemin de retour.

 

 

 

Pour en venir au livre des révélations, j'ai pus l'interpréter selon un schéma cartésien, c'est un ouvrage pré-chrétien dont le parallèle des idées avec la culture des druides est trop parfait pour ne pas révéler un plagia certainement organisé par l'église romaine des débuts, plagia couvert et conforté par les Francs lorsqu'ils arrivèrent en Gaule, période à laquelle fût écrite la première bible chrétienne.

 

Il renferme à travers ses schémas poétiques, les étapes de l'initiation antique des jeunes postulants à la maîtrise du druidisme tel qu'il était pratiqué en Europe, et nous renvois à bon nombres de légendes gauloises encore conservées dans la mémoire populaire européenne.

 

C'est a Néant sur Yvel, en bretagne que j'ai retrouvé la dernière trace du cerf blanc dans l'histoire. Ce fameux cerf qui incarnait la pureté dans le monde des vivants.

 

 

 

Le fil de l'histoire tient à l'écoulement du temps des saisons et des astres, idée première de la mythologie gauloise.......

 

 

 

C'est une nouvelle fantastique pour tous les druidisants encore existants.

 

Le savoir que l'on croyait perdu a été conservé dans les archives de ceux qui justement persécutèrent le druidisme pendant des siècles. Un pied de nez de l'histoire, car lorsque les nombreux chercheurs qui sont sur cette affaire prouveront tous ensemble que ce texte appartient aux druides de l'antiquité, cela provoquera une résurgence du druidisme à l'échelle mondiale.

 

 

Nous savions déjà que les temples chrétiens avaient été  construits sur les emplacements des anciens lieux de cultes gaulois, que bien des légendes chrétiennes avaient pour origines des histoires celtes et gauloises.

 

 

 

Au terme de bien des voyages, j'ai ramené mon Graal et ma destinée n'appartient qu'à moi, ça a été mon apprentissage personnel, destinée que l'on nomme poétiquement Excalibur chez les celtisants, la lame de la destinée, qui est l'épée qui donne la direction et la maitrise de l'avenir de celui qui sait la sortir de la pierre où elle a été bloquée, (présente sur nombres de monnaies gauloises).

 

Je vous souhaite de trouver la votre, car nous en avons tous une, elle sera toujours de culture gauloise.

 

 

Mon site internet est ma culture, il est construit comme un arbre, ses branches vont continuer à croître car ses racines sont solides et s'étendent à beaucoups de légendes tout autour de la terre de nos ancêtres. 

 

Bientôt les premiers fruits grossiront et nourriront les amoureux du rêve passé à la réalité.

 

 

 

druidegaulois.net est composé de notes, recoupements historiques, d'idées approfondies et de créativité, je m'y projette sous le nom d'Apix. Je vais un peu loin dans mes projections quelquefois, c'est la nature d'un artiste qui parle. Je prends position sur plusieurs stades De compréhension. Vous y trouverait des écrits quelquefois pas très aboutis, quelques fautes d'orthographe. Le travail de réflexion étant énorme ce sera à vous de parfaire les détails de tout cela.

 

 

 

 Ces écrits n'attendent que vous pour les dévelloper, je vous passe le bébé.

 

 

 

Je ne me prend pas au sérieux, ce serait gacher mon plaisir et je ne suis ni un messie, ni un gourou et encore moins un charlatan où un prieur du dieu de l'arrogance. Juste quelqu'un.

 

 

 

Nous avons tous une vérité qui nous appartient où qui ne doit pas être divulguée, la mienne ne triche pas et ce que pensent les autres religions, pleines d'adversité...ne me regarde pas et n'entre jamais chez moi.


La liberté de pensée personnelle c'est quelque chose de sacré.

Que les profanateurs de l'ouverture d'esprit restent à leurs sorcelleries obscures et stupides.

Gallisk druidic
Gallisk druidic

Pour clôre cette page je vais me fendre d'une tirade si respectable qu'elle ne peut dans sa simplicité épargner le moindre des reproches:


"Les emmerdeurs on n'en veut pas"


Certainement devrions nous tous l'inscrire dans une tournure plus élégante devant l'entrée de toutes les clairières du druidisme gaulois.