Justice Et Morale.

Art gaulois.
Art gaulois.

Justice et morale.


Les druides sont responsables de la morale commune, de la justice et de l'entente. Ce rôle était rempli lors de l'éducation des jeunes gens, on apprenait aux gens à se respecter.


Cette page va être dédiée à de petites histoires de tous les jours, de ces récits sort une morale suivant une réflexion sage s'il est possible de conjuguer et d'accepter la situation. Et ce n'est pas toujours possible, d'où ce titre -justice et morale-. Ce fut le travail des druides de rétablir la justice et la morale tous les jours. Et ce n'est pas facile.


Toutes ces histoires sont des histoires vraies.



Commençons,


Histoire 1.


Des gens venus de Paris louent un petit logement en rase campagne. Visiblement, au vu de leur grosse berline, ce sont des gens fortunés. Une femme d'une soixantaine d'années avec ce qui semble être son fils et le chien familiale. Ce dernier n'a pas l'air dangereux, un genre de colley où de berger australien.


À côté de ce logement, un homme vit seul avec son chien, pas méchant pour un sous, un croisé husky un peu âgé en surpoids, un nounours quasiment.


Au bout de deux jours, le jeune parisien prend ses aises et lache le berger dans la rue avant de le prendre en laisse et d'aller le promener plus loin.

Ne manque pas ce qui devait arriver, le chien parisien attaque directement le husky par derrière, il le mord superciellement, puis son "maitre le rappelle".

Le monsieur qui vit là depuis des années entend un peu de grabuge, quelques secondes, puis tout se calme.

Le lendemain il se rend compte que son animal a été mordu, ne le laissant jamais en liberté en dehors de sa vue, il se demande ce qui est arrivé.


Le soir à la même heure, les parisiens fortunés sortent de leur location et le chien n'est toujours pas tenu en laisse.

Il pénètre pour la seconde fois chez le voisin pour s'attaquer de nouveau au husky.

Cette fois ci, le monsieur sort rapidement avec un baton pour se défendre et engueule les malotrus en leur demandant de rappeler immédiatement le méchant clébard. Il reste sur sa propriété.

Il veut faire constater la blessure mais les gens ne veulent pas et se défendent de l'acte de leur animal.


"Ce n'est pas possible, ce n'est pas lui, il est toujours tenu en laisse...etc..etc."


Puis s'en vont avec l'air outré. Leur stupide animal a été laché deux fois en liberté, l'homme l'a bien vu. Mais ces personnes mentent clairement, cela n'est pas de leur faute?

Ils ne savaient pas qu'il y avait un autre chien, bien qu'ils l'aient entendu aboyer à plusieurs reprises.




Justice et morale:

La blessure n'a rien de grave, leur chien est agressif mais pas dangereux.

En revanche, ce qui est grave c'est le comportement des maîtres, car ils s'imposent dans un endroit où ils ne connaissent personnes encore, pensant que leur fortune leur permet de laisser cours à leur liberté de faire ce qu'ils veulent.

Le voisin n'étant pas très riche, si la justice payante s'en mêle, c'est lui qui paiera le plus. De toute façon ils se sont fait incendier, engueuler mais sans insultes.


De justice, je pense que le monsieur a bien fait.

Malheureusement, ces gens recommenceront à faire ce genre de choses ailleurs, leur gros mensonge démontre bien qu'ils ne veulent pas assumer leurs erreurs.

De là on peut se demander si la fortune vaut éducation et si ces gens méritent vraiment d'être riches.  Alors la justice vraie existe t'elle où bien l'éducation moraliste pourrait elle la remplacer avantageusement. La maréchaussée ne se déplacera jamais. Doit on donner le droit au propriétaire lésé de se venger, même succinctement. Devrait on tenir un registre des gens responsables des actes irrespectueux afin que l'état agissent par des sanctions si le phénomène se répétait trop souvent.


À vous d'en juger.




Histoire 2.



Une personne au chômage depuis des années voit arriver à côté de chez lui une entreprise de téléphone, qui réparent les câbles. Ce sont trois hommes de fortes corpulences originaires de l'étranger, il ne parlent pas français.

Au bout d'un jour où deux, le soir après le travail, les trois compéres se postent sur le bord de la route pour bien se faire remarquer. Jusque là pas de problème. Le jour suivant,  ils retournent sur la rue et commencent à regarder les gens de travers, l'air imposant. La personne à côté les croise, dit bonjour rapidement mais ne leur parle pas plus.

Encore une journée se passe lorsque le soir, les étrangers un peu éméchés regardent tous les passant méchament avec des paroles que l'on devine insultantes dans le ton.

La personne à côté commence à perdre patience, en parle avec les voisins qui eux aussi ont ressenti l'agressivité des étrangers.

Peu de temps après, l'un des trois travailleurs détachés agresse verbalement le chômeur, le ton est net, malgré la barrière de la langue, le message est bien compris.

Le chômeur sort sa hache et la plante dans un billot devant sa maison, mais sans agresser personne, il se méfie dorénavant, s'il devait se défendre il le ferait sans doute.



Justice où morale:

On peut se demander pourquoi un ressortissant étranger vient insulter gratuitement une personne dans son pays alors que celle ci est chez elle. On peut aussi se demander pourquoi des ressortissants hors union trouvent du travail alors que l'autochtone qui a des compétences n'en trouve pas.

Par compassion peut on accepter que la pauvreté des salaires étrangers l'emportent sur la nationalité première.

La politique économique a t'elle trahi la nationalité ?

Qui s'est fait juge de ce genre d'entrée?

Doit on aider, contre rémunération moyenne et correcte, ces gens à rester dans leurs pays et à y trouver du travail?

Le comportement suprêmaciste est il acceptable de la part d'un étranger ? Le comportement suprêmaciste doit t'il être garant d'une justice sociale équitable?



Justice où morale, à vous d'en juger.




Histoire 3.



Un vieux monsieur prête un objet à une association, 1 ans plus tard il voudrait récupérer son objet, ne s'agissant pas d'un don aucun papier n'a été fait. La confiance en un organisme hébergé par la mairie est là.

Le président de l'organisation lui apprend a cette occasion que l'objet a été échangé contre un autre.

Le vieux monsieur va voir la mairie pour réclamer un arbitrage mais le maire ne le reçoit même pas.

Il va donc demander de l'aide à la gendarmerie mais on lui répond qu'il n'y a rien à faire. C'était pourtant un objet de valeur, 700€.

Une association a l'obligation de tout répertorier dans ses affaires et notamment de ses valeurs, cela n'a pas été fait, le président est un escroc. Les autorités ne font pas leur travail, de petits arrangements dans une petite commune.


Si le préteur va en justice cela va lui coûter cher



Justice où morale:

Le président doit il être démissionné de son poste et une mention inscrite quelque part, le préfet doit il être prévenu sachant qu'il suivra la voie du maire de préférence ?

Le maire a t'il fauté lourdement ?

Le gendarme ayant voulut décourager le monsieur de toute procédure doit t'il quitter son poste?

Ce sont des questions graves et ce genre d'affaire arrive tous les jours. Doit on voter une loi pour accélérer la procédure où demander la possibilité qu'un tribunal communal juge cette affaire avant d'aller plus loin en engorgeant les services de justice?




Histoire 4.


Quelqu'un fait une bêtise sur la route, il perd son permis de conduire pour quelques mois.

Lorsqu'il veut le récupérer, on lui apprend que la préfecture a perdu son document et qu'il doit tout refaire aprés plusieurs mois de recherches. Il passe une visite médicale, ses résultats sont bons. Malgré cela, le médecin de la préfecture lui impose une autre visite médicale.

La personne déménage entre temps, elle demande le suivit du dossier.

Un an plus tard, aucune nouvelle, le dossier a disparu on ne sait où. La personne fait tout ce qu'elle peut, dossier bloqué, papiers inexistants.

La personne n'a plus de travail, plus de voiture, les autorités ne font rien pour arranger les choses.



Justice ou morale:

L'État doit il se doter d'une procédure accélérée pour réparer ce genre d'erreur? La personne doit elle être indemnisée sachant que la procédure durera des années?

Doit on systématiquement enclencher une procédure interne pour retrouver tous les agents du public qui clairement ont fauté et les congédier au plus vite.

Actuellement, ce genre de situation est inextricable et il existe des familles entières détruites par ces gros empêchements. Doit on se demander s'il existe des sous citoyens?

Un médecin a t'il vraiment le droit moral de décider d'une procédure administrative ?


À vous d'en juger.




Histoire 5.


Le facteur habituel a été remplacé pour quelque jours, le nouveau est un contractuel et ne prend pas son travail au sérieux, il estime qu'il n'est pas au service des gens.

Quelqu'un commande un objet et ne le reçoit pas. Il essai de contacter la poste mais c'est un num qui tourne en boucle. L'objet a disparu livré chez un voisin.

Cela arrive plusieurs fois, toujours à cause du même remplaçant et les responsables de la poste sont injoignables. Pas de suivi pour les petits objets venant de l'étranger. La personne fini par engueuler copieusement le mauvais facteur.



Justice où morale:

Qui est responsable, la poste où le remplaçant?

Que doit on faire pour que cela n'arrive plus, des sanctions doivent elles être prises alors que sans suivi on ne peut pas savoir avec certitude qui a fauté bien que de très gros doutes pèsent sur le remplaçant.

La morale doit elle remplacé la justice inopérante?

Qui doit on en charger? Est ce une question de manque d'éducation ?




Histoire 6.


Une vieille dame arrive en fin de vie, ses enfants ne la visite plus depuis des années. La sachant quasi-mourante,une de ses filles vient subitement lui faire du ménage, lui rendre un service où deux, puis départ pour plusieurs mois.

Dépitée, la mamie en arrive à penser qu'il vaudrait mieux donner son héritage à une association car ses enfants sont ingrats.

La loi l'en empêche, malgré le fait qu'il s'agisse d'un abandon d'affection, ses 4 enfants ne viennent plus depuis des années, elle n'a pas le droit de les déshériter.

Quand aux ingrats, ils n'attendent que ses derniers instants pour s'enrichir un peu plus. C'est triste mais ça arrive tous les jours.


Justice où morale:

La grand mère est lucide, peut on lui interdire de léguer ses biens à qui elle voudra?

Les enfants sont des arrivistes, peut il exister un droit d'héritage au plus  méritant où au plus nécessiteux? La loi, la justice est quelquefois inhumaine, voir associale car ne respectant pas le droit de décision ultime sur certains points, toujours financiers. 

À qui revient la morale et existe il vraiment une justice respectant les souhaits de chacun, à partir du moment où aucuns délits n'est commis.



Histoire 6.


Un agriculteur désherbe plusieurs hectares, ce faisant et arrivant en bord de route, il désherbé aussi le bas côté propriété de la commune. Lorsqu'il laboure, il empiète également sur la partie communale.

Au bout d'un certain temps les animaux domestiques sont empoisonnés. La municipalité ne fait rien.


Justice où morale:

Qui est responsable de l'inaction communale? Doit il exister des passe-droits non écrits dans les textes et cela permet il d'aplanir les relations sociales?



Histoire 7.


Les clients d'un bar ont pris l'habitude d'aller se soulager dans la rue. Au bout d'un moment l'odeur est immonde.

Les riverains excédés taguent un message insultant sur le mur. La ville abandonne le règlement de ce genre de problèmes car trop peu de gens s'en plaignent.


Justice où morale: qui a commis une infraction ? Le bar, le client, le voisin où la ville toute entière ?



Histoire 8.


Un homme hétéro se fait draguer par un homosexuel, il repousse ses avances.

L'homophobie est interdite par la loi.

Le dragueur en parle à un de ses copains et ce dernier retourne draguer le monsieur.

Impatient de régler le problème il lui met une gifle, rien de grave mais vexatoire.

L'Homo porte plainte et la police ayant peur de sa hiérarchie prend la plainte, l'hétéro perd le procès alors qu'il s'est juste défendu selon ses possibilités, sans abus.



Justice où morale:

 la société tout entière a t'elle perdu ce procès?

Qui doit être condamné et par qui? Peut t'on garder son libre arbitre malgré la loi?

L'homme, l'Homo où l'État a t'il raison?

Qui a agressé qui? La police doit elle avoir un libre arbitre aussi?


À vous d'en juger.



Histoire 9.


Un politique fait voter une loi "perfectible" donnant des droits à ses amis personnels. Comme souvent l'affaire est suffisamment bien tournée pour embrouiller les instances qui devraient interrompre le processus d'iniquité.

Cette loi étant inscrite dans le code concerné, on ne peut y déroger.

Beaucoup de gens en pâtissent.


Justice où morale:

L'homme politique ayant fait voter ce genre de texte doit t'il tenu responsable toute sa vie des problématiques qu'il génère? Les lois doivent elles être revues et corrigées systématiquement selon un calendrier spécial pour s'adapter à l'époque?



Histoire 10.


Un homme politique se fait élire sur ses mensonges, après sa prise de poste on se rend compte que c'est un parjure moralement parlant.

Lors de l'élection suivante il s'adapte aux demandes citoyennes en changeant son discours. Problème, les autres ne peuvent se faire élires pour cause d'acharnement médiatique et personnel. La logique de groupe l'emporte sur la logique morale. C'est toujours comme ça.


Justice où morale :

Doit on interdire d'exercer à quelqu'un qui retourne sa veste systématiquement grâce au détournement du discours et le radier des listes électorales ?

La pensée politique le plus souvent arriviste doit elle être dénoncée et empêchée par la société elle même.



Histoire 11.


Les plus hauts dirigeants se sont aliénés dans leur prérogatives au pouvoir financier, la corruption règne partout. Seulement la plus grande et il est question de milliards détournés. Ce système a été mis en place sciament personne n'est dupe. Tout le monde utilisant l'argent, nous sommes tous un peu responsables de cela.

La monnaie subjugue la morale, ce n'est pas vraiment une question de ressources primaires. La justice étant seulement une partie de la société, elle n'en est plus la première voie. La justice n'est pas l'État. Devenu secondaire dés que les intérêts personnels se sont infiltrés dans les couloirs du pouvoir.



Justice où morale:

La morale pourrait elle encore gérer le pouvoir financier?

La justice commune peut elle exister sur le monde de la finance privé mondiale?

Moralement parlant, sommes nous tous responsables du système installé par une autre société, moderne mais cachée au vu du grand public?

Doit on désigner les vrais responsables?




 






La question finale est celle-ci : la morale doit elle passer avant la justice pour gérer la société ?


Le parjure était puni gravement à l'époque gauloise.


Lorsque je vous déconseille de faire de la politique c'est parce que je sais très bien que c'est un jeu de dupe.




Ce site est un site d'artiste et normalement ce genre de sujet ne devrait en faire partie, mais pour ce qui est du druidisme et de la question culturelle modernisant la société, cela m'a semblé important d'y réfléchir.



À développer.

Justice et morale 2.


Normalement la justice ne devrait jamais obéir qu'à la morale en priorité, mais comme les gens politique le disent si souvent sur les plateaux télé : "Arrêtez de me faire la morale!".

Tout est dit, la justice applique des lois défiants la morale et aucunes n'est parfaites, et ne le sera jamais.


Chez les druides il faut choisir quelle sera votre priorité, justice où morale.

La morale est normalement de droit divin, c'est à dire appartement à la religion, ce qui pose un gros défaut à la République laïc. 

En plus de demander une croyance aveugle, la religion des hommes est imparfaite, c'est encore un problème. Faut il qu'un personnage où plusieurs garantissent la parole sacrée. Ce serait une semi-tromperie qui conforte finalement la politique.

La philosophie en elle même ne répond qu'a un besoin d'évolution et n'est pas une pensée formelle.


Reste le druidisme, moderne.


Les lois de la nature paisible, de ses équilibres et de sa force reste un exemple.

Les lois de la nature bestiale ne sont pas acceptables.

L'organisation d'une société de vie ne peut se faire sans y inclure les lois éternelles de la nature primaire, c'est comme ça. Ceux qui pensent pouvoir évoluer hors contexte, en dehors de l'eau, de la lumière et au milieu des autres espèces sont en plein déni de ce qu'ils sont devenu dès leur naissance et de leur origines avant cela.

Il serait possible d'écrire un ouvrage entier sur le sujet des lois primordiales et irréfutables.


Il y a deux mille ans les gens n'avaient forcément besoin de savoir lire où écrire, aujourd'hui c'est un nécessité absolue.


Malheureusement comme je l'indiquais plus haut, la tromperie est devenue quasiment un instinct humain. 

Qui n'a jamais menti n'a jamais divergé, c'est à dire qu'il n'a rien créé de nouveau non plus. Il faut faire la part de la gravité et de l'utile, du mensonge désintéressé et utile vis à vis  de la tromperie vraie. Hors cette dernière appartient constamment au monde physique chez les humains.

La vraie tromperie est physique, jamais du domaine du spirituel (le culte de la pensée divine est gratuit par exemple, où bien il s'agit d'une tromperie).

Donc, lorsqu'on raconte une histoire, on dit qu'il s'agit d'une histoire. Les apprentissages qui en ressortent sont eux de droits divins parce que chacun interprète les choses a sa manière mais garde les mêmes bases que ses voisins. Argumenter pour faire accepter un esprit unique, c'est juste de la folie. Raconter une histoire constructrice d'un esprit commun, c'est la démonstration d'un partage divin.


L'élitisme personnifié appartient au monde physique, ne fait pas parti de la spiritualité sacrée. Les sociétés construites sur des cultes de la personnalité ont toutes échouées, de gauche où de droite. Ainsi va le temps, changeant et piétinant les certitudes, c'est pour cela que l'écriture fut interdites chez nous il y a longtemps, pour permettre l'évolution naturelle des choses. C'était comme réfuter l'élitisme constant et inscrit sans écraser le mérite ponctuel. Les druides racontent des histoires moralisantes, font émerger des lois divines sans mentir pour autant au nom d'un dieu où d'un autre pour s'accaparer des richesses où des grâces.

Si vous pensez que vous êtes des gens parfaits c'est que vous n'avez rien compris, si vous vous sous-estimez, vous n'avez rien compris non plus. Vous êtes dans le monde et vous évoluez selon ses besoins, secondairement selon les vôtres (sinon vous seriez tous milliardaires).


Les lois sont humaines et physiques, perfectibles, la morale personnelle (de chacun) dépasse cela en efficacité, c'est juste la question de l'éducation qui est à comprendre. Importante chez nous, elle est dévoyée chez les autres religions en général. Le religieux aveugle crache sur l'éducation scientifique parce qu'il entretient un esprit d'iniquité pour un dieu, soi-disant un dieu.


Le druidisme dépasse l'écueil de la croyance aveuglée, cela serait une demi-religion?

Pas du tout, nous nous plaçons au dessus où au delà du simple religieux, quelque part dans la lumière finalement, dans la compréhension et au dessus des idéologies.

Il faut repousser les limites de l'éducation acquise pour accéder à cette morale dans la compréhension lumineuse.


Avec des médias qui aujourd'hui orientent une compréhension basique et terrestre "grâce" au petit écran, pour faire monter des idéologies très concentrées en france, qui servent des intérêts privés, ce n'est pas de la tarte. Ces idiots manipulent les pensées dans leur sens et écrasent toute autre dogme où  pensée divergente. Leur liberté n'est pas la notre. On vous dit vive la liberté et vous y croyez, alors que eux ne pensent qu'à leur liberté personnelle. C'est un phénomène de caste. Je suis obligé de constater tous les jours de quelle partie viennent ces manipulations de l'histoire, et à quel point nous nous avançons de plus en plus vers l'hégémonie financière de certains contre le principe républicain. Le tout mené par la tribu des "cachotières", se servant médiatiquement de la tribu de "zébres".

Toutes les forfaitures se payent dans l'au-delà dit on dans ce milieu très élitiste et pas vraiment croyant au fond.


De droite où de gauche, la morale n'existe pas en politique, les grandes fortunes voudraient la faire à leur place, la justice obéit à la politique. Les églises croyantes ont faillit, il viendra un temps où le druidisme tentera d'y remédier.  

Seulement pour que cela arrive, il ne faudra jamais s'allier avec les pré-cités. L'enfumage et la lumière n'ont rien à voir l'un avec l'autre, derrière cela il y a l'obscurantisme.


Il faut bien comprendre que chacun veut vivre sa passion, elle n'est pas identique pour chacun, donc il faut comprendre, ce n'est que la bestialité qu'il faut combattre par la morale. L'iniquité lui sert de socle.


Chez nous il ne suffit pas de se confesser pour pouvoir recommencer le lendemain. Il y a là une barrière entre la justice, le déni de réalité et le réel. C'est tout cela qu'il faut faire ressortir des mythes gaulois.


Il faudrait par exemple lister les attitudes bonnes à conserver en toute occasion, respecter les autres, ne jamais mentir pour cacher une mauvaise habitude, se défendre complètement dans tous les cas de bon droit, éviter si possible l'agressivité et la violence, se défendre physiquement en cas d'attaque physique..etc. 

La justice demande constamment de ne pas se faire justice soi même, malheureusement dans certains cas des innocents en pâtissent, par qu'ils auraient pu se défendre et ne l'on pas fait. Il faut garder et inculquer toute mesure mais la victimisation doit être éliminée.



NB: Il est fait référence à des groupements de personnes lors de soi-disants sacrifices humains et de la déchéance sociétale de ceux qui furent interdits d'y participer. On sait aujourd'hui que les druides ne sacrifiaient pas l'humain. On peut largement en déduire qu'il s'agissait alors de tribunaux populaires où chacun était invité à donner son avis et une sentence. Une sorte de vote de jurés tribaux avec la participation de toutes les familles représentées. C'est ce qu'on appelle encore aujourd'hui des tribunaux populaires.