Kernunos, entre maîtrise et instincts. Au début il y avait un dragon, et puis la volonté écarta la bestialité, et kernunos apparu (l'animalité). Ce dieu particulier est souvent représenté assis en tailleur parce qu'il n'existe pas dans le monde d'en bas, des passions enflammées. Représenté debout il integrerait la totalité de l'arbre spirituel, ses pieds situés en bas serait dans le monde des passions incontrôlables.
Kernunos, entre maîtrise et instincts. Au début il y avait un dragon, et puis la volonté écarta la bestialité, et kernunos apparu (l'animalité). Ce dieu particulier est souvent représenté assis en tailleur parce qu'il n'existe pas dans le monde d'en bas, des passions enflammées. Représenté debout il integrerait la totalité de l'arbre spirituel, ses pieds situés en bas serait dans le monde des passions incontrôlables.

 

 

 

Kasses.

Il y avait des villages, des routes et des villes désormais. Et ces places revendicaient leurs territoires en toute liberté, protégées par les équites. Chacune d'entre elle édictait ses lois particulières à travers la volonté des déesses Kasses. C'est dans les bourgs, au centre de la civilisation gauloise que se tenaient les assemblées de femmes qui disaient les lois de l'endroit. Car cette partie centrale, au delà de la volonté des femmes au foyer, appartenait entièrement au matriarcat. On les appelait les déesses du chêne, celles qui tressent la volonté du lieu. Ces déesses avaient l'élégance de leurs coiffes en emblème. C'est un oiseau du chêne qui sifflait en échangeant ses arguments avec ses congénères, peut être l'alouette. Les décisions étaient rendues pour la place par les déesses Kasses et tous devaient les respecter, c'était les lois d'airain, fermes, sans aucune corruptions.







Nb: c'est quelque chose que nous savions déjà, c'est a dire que les centres bourgs étaient d'une part indépendants, mais aussi qu'il étaient assujetties au matriarcat. "Kasses", où "Casses", signifie "la volonté du lieu", la loi. Plus précisément incarnée par la lettre "K".

 

 

 

Kernos.

Les humains allaient et venaient, mais ils trouvaient leur vie dure et voulûrent inventer des choses qui apaiseraient leurs maux.

L'un d'entre eux décida de demander au noble taureau où était le centre du monde, l'endroit où avait été créé la terre, l'eau et l'air, lata, ana et aria.

" Tu trouveras l'antre du créateur facilement car c'est dans la montagne que l'on voie le plus loin sur l'horizon. Il faudra en trouver l'entrée et te retirer à l'intérieur" lui dit le taureau.


Kernos pris un premier chemin et chercha longtemps à l'horizon la fameuse montagne.

Il ne la trouva pas.

Il revît chez lui et reposa la même question à Donn.

"Tu pourrais te promener toute ta vie sur cette montagne sans jamais la voir, trouve l'entrée et dedans tu verras la montagne" lui appris encore le taureau.

Kernos repris son chemin et chercha des jours et des jours l'entrée du mont sacré, et il ne le trouva pas. Mais il remarqua au detour d'une route deux grandes mares jumelles et s'en rappella.

Il revînt une fois de plus au village pour poser une dernière question au Donnotarvos.

" Je n'ai pas trouvé l'entrée mais j'ai remarqué deux grandes mares dont les sources doivent se trouver dans leur fonds" expliqua t'il.


" Dans les yeux de la pierre se trouvent quelqu'un que tu connais qui te montrera la voie, sache que toi seul Kernos peut trouver ce que tu cherche", dit le dieu des esprits.


Kernos ne comprenait toujours pas mais il était fatigué et alla se reposer. Il fît un rêve et dans celui-ci, il vît un grand arbre poussait dans la montagne, c'était un arbre creux et par endroits sur son écorce se trouvaient des gemmes colorées.


Lorsqu'il se réveilla il souriait, il avait appris où était l'entrée de cet arbre qui ressemblait à une montagne.

Souvent par la suite, il alla se retirer dans la montagne sacrée qui portait son nom désormais.

 

 

 

Kantae Niskae Mattres.

Kantae niskae mattres


Les nymphes habitantes du grands marais de la création chantaient les dieux et les héros. C'étaient le rôle des kantae niskae mattres, à chaque tribu son rôle, son dieu et sa chanson particulière. Ainsi chantaient elles en groupes composant le cercle d'éternité des étoiles. Elles aussi qui décidaient du présent et qui emmenaient les navires dans des directions prometteuses. Le chant du roseau se faisait entendre strident à travers les vents décideurs. Cela se passait au mois de cantlos et les pourvoyeuses ordonnaient les rassemblements au clair de lune. Ce sont ces déesses du ciels qui apportaient la nouveauté et le bon avenir, ce sont leurs chants qui emmenaient les hommes sur les voies prolixes définies par des signes, dans le ciel des nemetons.



NB: toujours la société matriarcale qui apparaît a travers la divinisation du culte féminin. Les niskae sont les nymphes du ciel, et chacune représente où habite une étoile d'après ce que j'ai déjà trouvé.

 

 

 

Kernunos.

Kernunos


Kernunos serait le dieu principal de l'Aidubno, terrestre et intérieur. Fête de Noël, c'est l'arbre de la pensée divine.100%.

(c'est pour ça que ces idiots de romains l'ont confondu avec pluton le caché, C'est bien lui le dis-pater).


Le dieu qui a un œil ouvert et un œil fermé ouvre les portes de la création et de la mémoire humaine à travers le temps.

Sur certaines sculpture post-druidique on le voit qui part se cacher dans la grande forêt, la où les branches de l'esprit se croisent et se soutiennent. C'est éminemment le dieu de l'équilibre spirituel et physique, le maître de l'histoire. Les druides modernes le comparent au soleil parce qu'il est l'incarnation viril et procréatrice du temps, c'est son côté physique et animal, le cerf. Il incarne aussi la détention de la mémoire de ce qui fût a travers le taureau, l'aire qui vient de se terminer.

C'est lui le détenteur de la torc des érudits et de l'histoire, lui aussi qui est incarné par les druides matûres au centre de la clairière, du vieux cercle de pierres mégalithiques.

Kernunos qui maîtrise le serpent antique de l'instinct primaire  et le déroulement des événements qui l'entoure. Sur certaines sculptures, on le voit qui distribut des grains entre l'hombre et la lumière, entre le cerf blanc et le taureau noir.

Kernunos figure un arbre humain et céleste, un esprit qui se dévoile avec le calendrier gaulois. C'est la manne du temps et de l'esprit, le grand savoir. Ce qui semble être des grains sont en fait un peu plus gros, les cornes de kernunos représentent les branches chêne rouvre, sacré, où bien le grand hêtre, sacré également, en même temps que les ramures du grand cerf roi (le grand sage). Sur des sculptures postérieures à l'époque druidique, c'est un bélier qui représente la partie lumineuse et corporelle du dieu. Passant du cerf blanc bien-connu et représentant la créativité, au bélier blanc simplement représentant la vie physique. Dans le premier cas, le taureau qui fait face incarne la mémoire de l'aire du taureau, dans le second (bélier), le taureau incarne simplement la mort. C'est pour cela qu'on le retrouve sculpté au dessus des ancien cimetières chrétiens.






Nb: 100%. C'est la plus vieille divinité connue et reconnue sur la planète, 12000 ans, soit les véritables débuts de la civilisation humaine moderne. Avec les résultats 2021, je peux dire que Kernunos ne représente pas le soleil, c'est un dieu tout à fait terrestre, gros rapport avec les magnétisme, les menhirs seraient des cornes de Kernunos. Rapport aux animaux, à la vie sauvage, il a suivi des évolutions différentes selon les époques.


Cerf-taureau= créativité vitale et mémoire (druidisme antique)

Béliers-taureau= vie physique et souvenir des morts. (Pré-chrétien)

 

Korrigénatos.

 

Korrigenatos


Comme les korrigans bretons, les korrigenatos gaulois sont des créatures vivants dans les bois, dans des endroits très particuliers.

Ce sont des gardiens sacrés et impétueux de l'endroit où grandissent les rois, où ils sont élevés et s'imprègnent de sapience ancestrale. On les appelait aussi : les rois des pierres moussues, c'est à dire les anciennes pierres disposées en cercles. Ces créatures sont les artisans du "fils du cercle couronné".

Cet endroit mystérieux est la limite entre le monde des hommes et celui des dieux. Un endroit où se mèlent la sagesse du héron et la peur de l'inconnu. On dit que ce sont eux qui ont érigé les cercles de pierres, qu'ils sont toujours en compagnie nombreuse à mouvoir le chariot porteur de la manne interdite aux humains. On les a comparé à la jeunesse  des créatures de la forêt profonde. On dit aussi que ce peuvent être de fidèles compagnons qui accompagnent les champions et les héros, tous couverts de branchailles et de mousses qui n'hésitent jamais à boire un peu trop de cervoise.




NB: très clairement l'étude démontre que ces créatures ont des liens avec les cercles de pierres et l'apprentissage de la royauté. Ce sont un peu les gardiens de la couronne. Beaucoup de magie dans ces buissons là. Il faut rapprocher les dieux Cicoluis et Cuculatos pour comprendre qu'ils s'agit de cérémonies publiques et de magie chamanique active.

De " kers" et "genatos"

 

 

 

Kerionos.

Kerionos


Kerionos a toujours fait partie du ciel de l'ouest, sa maison était dans une constellation apparue à l'époque des moissons d'été. C'était un seigneur des blés, que l'on priait et auxquels on dédiait ce moment particulier. On dit que le cri de certains oiseaux qui volent très haut dans le ciel appelait aux récoltes, et Kerionos était de ceux là. Il habitait le frêne sacré durant la journée, au bord du grand fleuve. Protecteur et généreux, il couvrait les maisons avec ses chaumes, c'est ainsi qu'il préparait l'hiver. Il connaissait l'aigle, la grue et le grand cerf dans les étoiles qu'il avoisinait. Il était jeune, pas très grand et très sérieux sur son emploi du temps. Il possédait une barque dit on avec laquelle il traversait le ciel.



NB: sans nul doute une des constellations gauloises, et peut-être le nom antique de l'arbre principal lui même.