Culte druidique des eaux de lumière

Les eaux sont le temps, et leur lumières la couleur de nos âmes.  "Par Teutates! Le ciel vas nous tomber sur la tête!" s'écriaient les gaulois. Car chez eux, le ciel est un océan et lorsqu'il pleut beaucoup trop, c'est comme une punition divine.
Les eaux sont le temps, et leur lumières la couleur de nos âmes. "Par Teutates! Le ciel vas nous tomber sur la tête!" s'écriaient les gaulois. Car chez eux, le ciel est un océan et lorsqu'il pleut beaucoup trop, c'est comme une punition divine.

nb: il existait un vieux mythe gaulois traitant d'un cheval grattant le sol, celui ci agrandi le trou se remplissant d'eau pour pouvoir y boire, c'est de là que naquirent toutes les nyskae, les muses gauloises.

Le ciel de nuit est un océan tandis que le ciel de jour est considéré comme un désert.

Ce culte revetait un aspect particulier dans les coiffures gauloises, chaque mèche semblant être une part bien rangé de la pensée ondoyante des gaulois, car le culte de la lumière des eaux est bien un culte de la réflexion flamboyante, de la belle pensée....


Il s'effectue la nuit et la lune et les étoiles jouent un rôle important dans le reflet des ondes. Ceux qui vont faire l'expérience doivent se rappeler qu'il ne faut pas trop s'abreuver aux sources de la vie, ils risqueraient de s'y "perdre" et d'y perdre leurs forces énergétiques. Pas plus de 5 minutes d'exposition, 30 secondes devrait suffire.

L'expérience se déroule doud un arbre où un abrit car il ne faut jamais regarder les astres directement.













"Heureux qui comme la rivière peut suivre son cours sans quitter son lit"  paradait l'étudiant frondeur.


Et un brin philosophe.


Les eaux mouvantes sont comme une rivière émouvante, le temps s'écoule avec sa fluidité, innarétable.


C'est bien sur grâce à l'eau que naît et se propage la vie, et c'est avec ses caractères que se transmettent ses sentiments. Rapides, planes, enjouées et rieuses lorsqu'elles ne se mettent pas en colères, tout être vivant lui doit sa nature profonde.

Un discours fleuve.

Il semble que ce culte des eaux du temps provienne du néolithique européen, les grottes ornées ne sont elle pas des boyaux creusés par le temps qui renferment les souvenirs en peintures de nos aïeux ?

Ce que j'en sais profondément c'est que l'eau est le vecteur de notre soleil interne qui fait notre vitalité physique et psychique.

Bélénos était la divinité qui exprimait le mieux cela.


Les vasques du site des pierres jaumattres en sont un des restes particulier mais le culte des eaux était rendu aussi ailleurs.









" La terre la soutient,

 l'air la transporte, 

Le feu la réchauffe,

Tel est le pouvoir de l'eau "

le secret des fontaines.

Je me souvient de rendez-vous secrets avec des druides, cela se passait la nuit, et les lieux de réunion se trouvaient sans cesse autour de sources jaillissantes.

Alors il s'agissait de se couvrir pour ne pas être reconnus, et un certain apprentissage était donné. Ressurgence ou continuité de ce culte des eaux antédiluvien, les initiés étaient tenus au secret; Cela concernait les mouvements de l'eau sourdissante, aux chants des fontaines et petits torrents. Il y avait de la magie dans ces instants, personne n'aurait voulu avouer pendant la journée les usages qui y avaient été appris; Vous n'êtes pas obligé de me croire, pourtant, ces rendez discrets, éclairés de la lune et enchantés des gargouillements agréables, je les ais vécu. Nous sommes peu à en connaître la vérité.

Nb: ce culte des eaux est aussi celui des océans, de la réunion de tous les esprits, de ce qui fait une nation. Il semble ressurgir à propos de ces deux mots bien des choses originelles.







Nb: Sur beaucoup de monnaies on peut voir un mimétisme entre la part supérieure d'un dessin et sa part inférieure (bas), c'est la représentation d'un reflet dans l'eau. Reflet qui puis être assez ressemblant ou tout a fait allégorique. C'est encore le culte des eaux et le rapport entre les lueurs du ciels se reflétant dans les eaux de la vie sacrée.on peut mieux s'en rendre compte sur celles qui sont barrées par un trait horizontal entre les deux représentations mimétiques. Pourtant sur pas mal de graphismes les deux sont différentes car il s'agit du monde lumineux physique et de l'autre spirituel donc interprété différemment.

Exemple : il semble que le sanglier gaulois ait été une constellation où plutôt une étoile je dirais, se reflétant dans le miroir des lieux de culte.