Dagda était jeune homme lorsqu'il décida de voyager pour apprendre les routes du monde et il était un marin expert ainsi qu'un bon pêcheur.
Un fois, alors qu'il pêchait, un gros poisson se pris dans ses filets, un saumon gigantesque qui entrainâ le bateau vers les îles nuageuses au dessus des courants connus de cette époque.
La coque se brisa sur les roches de la côte et Dagda fût precipité à l'eau. Il pensait mourir quand une sirène uimpi l'appella de son chant. L'humain nagea fort et longtemps, animé qu'il était d'une nouvelle énergie. Sur la plage, une jeune femme l'attendait.
"Qui est tu?" Demanda le naufragé.
"Je suis Ana et tu es arrivé sur mon île" repondit l'apparition évanescente.
Dagda fût surpris de constater que les eaux qui l'entouraient, portaient en elles une chaleur qu'il n'avait jamais sentie dans la mer qui bordait son village d'origine.
"Je suis bien loin de chez moi et je ne peux pas rentrer, où puis je trouver le bois qui me permettra de construire un autre navire"
S'enrageat il.
"Tu es arrivé de l'autre côte de ta mer et ici le bois est rare mis a part quelques racines" lui apprit elle.
" Les tiens ne t'attendent plus car tu as derivé trop longtemps. Tu peux habiter ici, le peuple des Ana est acceuillant tu verras" dit elle encore.
"Maudit destin!" Pesta le Dagda.
"Ne profère pas la tempête dans mon royaume, le destin est le père de la destiné. Souvient t'en", chantona la sirêne, énigmatique.
Ainsi le pêcheur ne pût construire qu'une petite embarcation et ne reparti jamais de l'île cachée dans les nuages.
Il ne le regretta pas longtemps, car au milieu de cette terre, les saumons remontaient les cours d'eau pour venir pondre, puis se laissaient attraper à la fin pour nourrir les tribus.
Le nouveau venu attrapait les gros poissons à la main, et celle ci pris une teinte brillante qui resta ancrée sur sa peau.
Dagda nourrie ainsi tous les enfants du royaume. Il tomba amoureux de la déesse Ana et il eurent une fille dénomée "Étunia" qui signifie "celle qui redonne la lumière".
Au milieu de sa nouvelle terre, un oiseau de mer apporta une grosse graine qui poussa facilement dans le climat chaud qui reignait sur l'endroit. Bientôt, un arbre gigantesque abrita la tribu uni des Ana.
Un arbre que jamais personne ne coupa.
Nb: d'aprés interprétation du sens de "dagos" , "Dagodevos"...etc..dans des textes gaulois, je dirais que Dagda a un rapport avec la forme d'un poisson argenté en forme d'épée où de dague. C'est un sens purement machiste du reste (ce qui ne m'étonne pas vu l'époque) car il est employé aussi dans le sens de "pénis" et de parêtre (père).
On vas continuer à le comparer avec un poisson comme son alter-égo galiléen, Dagan.
Les druides l'appellent "le dieu bon" mais ce serait plutôt "le dieu géniteur" où "le dieu viril".
La forme des épées gauloises représentent le Dagda, le sexe de l'homme se figure par la lame.
Le premier enseignement de la philosophie antique propose l'acte comme définit :
"La cause provoque un choix, c'est là, à ce moment, que le chemin diverge et que l'on peut s'arrêter où avançer."
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